Inverser la dysfonction sexuelle féminine

La dysfonction sexuelle touche 43 % des femmes contre 31 % des hommes.1,2 Pourtant, les seules publicités pour améliorer la performance sexuelle que vous voyez à la télévision sont celles qui font la promotion de médicaments pour traiter la dysfonction érectile chez l'homme.

Alors que la prévalence de la dysfonction sexuelle féminine augmente avec l'âge,3 40 % des femmes concernées ne demandent pas l'aide d'un médecin.4 L'une des raisons est qu'aucun médicament n'a encore été approuvé pour le traitement de la dysfonction sexuelle féminine et que les médecins n'ont pas de protocole (autre que remplacement hormonal) pour cette condition.5

La bonne nouvelle est que des découvertes récentes ont identifié plusieurs nouveaux composés naturels qui agissent ensemble pour stopper les mécanismes à l'origine de la dysfonction sexuelle féminine, ainsi que les symptômes de la ménopause.

Cet article décrit comment ces extraits à base de plantes modulent de manière bénéfique six voies pouvant entraîner un dysfonctionnement sexuel féminin. Un seul de ces extraits, pris seul, a réduit la dysfonction sexuelle chez plus de 86 % des femmes inscrites à une étude en double aveugle contrôlée par placebo en seulement 40 jours !6

Vous apprendrez également comment un autre composé fabriqué à partir de plusieurs plantes module l'activité hormonale derrière les symptômes de la ménopause, qui déclenchent fréquemment un dysfonctionnement sexuel féminin. Dans une étude humaine en double aveugle et contrôlée par placebo, ce mélange d'extraits multiples a réduit les symptômes de la ménopause de 62 % en moyenne en 12 semaines !7

Le fait de préférer parfois ne pas avoir d'activité sexuelle n'indique pas qu'une femme a un dysfonctionnement sexuel féminin. Le désintérêt, voire un dysfonctionnement occasionnel, peut être une réponse normale à diverses situations de la vie.

Mais lorsqu'une femme est frustrée et déprimée par un manque d'intérêt et de fonction sexuels normaux, cela indique une perturbation d'une ou plusieurs voies de la matrice physiologique globale du corps - une condition qui nécessite un traitement.

Bien que l'incidence du dysfonctionnement sexuel chez la femme augmente avec l'âge8, ce n'est pas un symptôme inévitable du vieillissement et il peut affecter les femmes de tout âge.

Une étude a averti que le nombre croissant de femmes se plaignant de dysfonctionnements sexuels indique qu'« il est temps que les médecins commencent à reconnaître la sexualité des femmes avec la même importance que leurs patientes. »4

Soutenir les mécanismes physiologiques sous-jacents est une étape essentielle dans la prévention de la dysfonction sexuelle.

Comme vous l'apprendrez, plusieurs extraits botaniques ont été étudiés - Cordyceps sinensis, maca et un mélange de trois extraits appelé EstroG-100™ - pour leur capacité à se compléter et à moduler simultanément diverses voies biochimiques pour fournir un traitement multifactoriel pour ce trouble complexe.

Comment se développe la dysfonction sexuelle féminine

La dysfonction sexuelle féminine peut être difficile à diagnostiquer en raison de la complexité de la réponse sexuelle féminine. Il se manifeste par un ou plusieurs d'un ensemble de symptômes qui peuvent aller et venir : réduction de la libido, aversion pour le sexe, manque d'excitation, sécheresse vaginale, douleur pendant les rapports sexuels et incapacité à ressentir du plaisir ou à atteindre l'orgasme.

Les symptômes de la dysfonction sexuelle féminine peuvent être déclenchés par des changements physiologiques, en particulier ceux qui affectent le système reproducteur tels que le syndrome prémenstruel, la grossesse, le post-partum ou la ménopause.9

La dysfonction sexuelle féminine est souvent le résultat de niveaux réduits d'œstrogène, de testostérone, de progestérone, de sérotonine, d'antioxydants et d'oxyde nitrique; ou des niveaux accrus de cytokines pro-inflammatoires et de monoamine oxydase.9

Dans le cerveau, des niveaux accrus de monoamine oxydase détruisent la dopamine chimique du plaisir.

La transition ménopausique est considérée comme la période la plus difficile pour rester en bonne santé sexuelle et peut être une cause fréquente de diminution de l'intérêt ou du désir sexuel chez les femmes. La ménopause implique des symptômes tels que bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, fatigue, anxiété et perte de mémoire, mais la dépression, la sécheresse vaginale et la perte de libido qui l'accompagnent peuvent être des éléments du dysfonctionnement sexuel féminin.

Jusqu'à il y a dix ans, la médecine conventionnelle traitait à tort les symptômes de la ménopause avec des hormones non naturelles pour le corps humain telles que l'œstrogène équin conjugué plus l'acétate de médroxyprogestérone. Tout cela a changé avec la publication d'une étude historique en juillet 2002 appelée Women's Health Initiative (WHI), qui a conclu que les avantages du traitement ne l'emportaient pas sur le risque accru de cancer du sein de 26 %, le risque accru de maladie cardiaque de 29 % et le risque d'AVC 41 % plus élevé.10-12

La dysfonction sexuelle féminine implique la perturbation de multiples mécanismes physiologiques pour lesquels la médecine moderne n'a pas de traitement systématiquement sûr et efficace.

Pour cette raison, les médecins traditionnels ont été pratiquement impuissants face au nombre croissant de femmes souffrant de dysfonction sexuelle féminine ou de ménopause, ou des deux, jusqu'à présent.

Cibler plusieurs voies

Pour trouver une solution efficace et non pharmaceutique aux complexités de la dysfonction sexuelle féminine, les scientifiques ont examiné de nombreuses sources botaniques. Ils ont découvert des extraits botaniques spécifiques pour traiter les multiples causes sous-jacentes de la dysfonction sexuelle féminine. Les chercheurs ont réduit la recherche et ont découvert que les plantes suivantes étaient les plus efficaces pour traiter la dysfonction sexuelle féminine:

1. Extrait de Cordyceps sinensis
2. Extrait de Lepidium meyenii (maca)
3. Mélange de trois extraits d'EstroG-100™

Cordyceps

Un extrait de Cordyceps sinensis - dérivé de la souche Cs-4 de ce champignon médicinal - s'est avéré avoir la capacité de moduler diverses voies physiologiques qui ont un impact sur le dysfonctionnement sexuel féminin. On pense que son efficacité provient de sa composition unique de substances pharmacologiquement actives.

L'extrait de Cordyceps sinensis agit sur les voies distinctes suivantes pour :

• Modulez l'axe hypothalamo-hypophysaire (HPA), en équilibrant les niveaux d'œstrogène et de testostérone selon les besoins.6
• Optimiser la fonction surrénalienne, favorisant le flux en aval des hormones sexuelles.6,13
• Soutenir la fonction mitochondriale en augmentant la production d'adénosine triphosphate (ATP), et avec elle, les niveaux d'énergie et l'intérêt sexuel.6,14,15
• Stimule l'action antioxydante, inhibe la destruction de l'oxyde nitrique et permet une lubrification vaginale et une fonction sexuelle normales.6,16,17
• Modérer l'inflammation en contrôlant les niveaux de cytokines pro-inflammatoires, bloquant ainsi leur effet modérateur sur le désir sexuel et l'activité.18,19

Les scientifiques ont testé la souche Cs-4 de Cordyceps dans une étude en double aveugle contrôlée par placebo impliquant 40 patients âgés souffrant de dysfonction sexuelle. Le groupe test a pris du Cordyceps Cs-4 à des doses qui se traduisent par 375 mg de produit préparé commercialement, car il est formulé sous forme d'extrait 8:1. Plus de 86 % des femmes du groupe Cs-4 ont significativement amélioré les signes et les symptômes de l'hyposexualité, en seulement 40 jours !6

Et dans une étude similaire sur Cordyceps sinensis portant sur 189 sujets présentant une diminution de la libido, cette fois incluant à la fois des femmes et des hommes, une amélioration des symptômes a été notée chez plus de 66 % des participants, encore une fois, en seulement 40 jours !6

Maca

Il a été démontré qu'un extrait de Lepidium peruvianum, une plante à racines de haute altitude connue sous le nom de maca, régule plusieurs voies physiologiques clés du dysfonctionnement sexuel féminin. On pense que la maca fonctionne principalement en fournissant l'équilibre optimal des nutriments utilisés par le système neuroendocrinien du corps.20

Les scientifiques ont découvert les effets complémentaires significatifs de l'extrait de maca, cultivé depuis plus de 2 000 ans. On pense que la Maca influence trois mécanismes différents pour:

• Moduler l'axe hypothalamo-hypophysaire.21-23
• Réguler la fonction des glandes surrénales.23,24
• Optimiser les niveaux de neurotransmetteurs cérébraux, réduisant ainsi le risque de diminution de la libido, de dépression et de dysfonctionnement sexuel.23,25

Les avantages de la maca ont été évalués dans une étude croisée randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo. Quatorze femmes ménopausées ont reçu chaque jour soit un placebo, soit de la maca en poudre, ce qui se traduit par 583 mg à 875 mg par jour de produit, car il est formulé sous forme d'extrait 4-6:1. Les problèmes sexuels ont été mesurés à l'aide de sous-échelles de l'échelle climatérique de Greene, qui fournit une mesure des symptômes de la ménopause.25

Les participants qui ont pris de la maca ont obtenu un score inférieur de plus de 34 % (ce qui, selon cette mesure, signifie meilleur) que les sujets placebo sur une échelle standard de dysfonctionnement sexuel. Cette amélioration significative a été observée en seulement six semaines ! En outre, les sujets maca ont testé 30 % de moins sur la sous-échelle psychologique des symptômes d'anxiété et de dépression, une amélioration substantielle pour une période de seulement six semaines ! 23

De plus, pour déterminer l'effet de la maca sur la dysfonction sexuelle dans les cas spécifiquement diagnostiqués comme étant causés par la prise d'antidépresseurs connus sous le nom d'ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), les scientifiques ont mené une étude pilote randomisée en double aveugle sur 20 sujets. La dysfonction sexuelle s'est avérée réduite dans le groupe ayant reçu de la maca avec des scores moyens diminués de 25,8 % et 29,4 %, sur deux échelles standard de dysfonction sexuelle (les questionnaires ASEX et MGH-SFQ, respectivement). La libido s'est également améliorée et aucun effet secondaire indésirable n'a été trouvé.25

EstroG-100™

Le troisième nouveau composé comprend trois extraits de plantes qui agissent en synergie pour corriger le déséquilibre de la ménopause par une action considérée comme une modulation sélective de l'activité des œstrogènes.

Lorsqu'il est intégré dans une formule unique connue sous le nom d'EstroG-100™, cet extrait multi-composé soutient une activité œstrogénique équilibrée, qui à son tour inhibe les nombreux symptômes de la ménopause, y compris le dysfonctionnement sexuel féminin.

Reconnaissant que la ménopause transitoire est une cause contributive de la dysfonction sexuelle féminine, les scientifiques ont commencé à cribler une variété d'extraits de plantes prometteurs pour un effet potentiel, en utilisant une méthode connue sous le nom de test de réponse des tissus cibles des voies non reproductives (E-screen).

Trois extraits ont finalement été identifiés pour leurs effets bénéfiques combinés sur la ménopause et la dysfonction sexuelle féminine : Phlomis umbrosa, Cynanchum wilfordii et Angelica gigas Nakai (angélique coréenne). Chacun de ces extraits est utilisé depuis plus de 400 ans dans la médecine traditionnelle coréenne-chinoise. En fin de compte, un effet puissant a été trouvé après que ces trois extraits de plantes ont été extraits à l'eau chaude et mélangés dans des proportions correctes dans une seule formule, appelée par la suite EstroG-100™.

Les chercheurs ont découvert qu'EstroG-100 ™ améliore la fonction hormonale, peut-être en optimisant l'activité œstrogénique dans certains tissus cibles liés aux symptômes de la ménopause.26 Étant donné qu'EstroG-100 ™ n'a pas d'effet sur les niveaux d'hormone folliculo-stimulante, d'estradiol ou d'hormone de croissance, 26 son soulagement substantiel de la ménopause peut provenir de sa capacité à fournir une activité similaire à l'action d'un «phyto-SERM», un imitateur à base de plantes de la classe de médicaments connue sous le nom de modulateurs sélectifs des récepteurs aux œstrogènes, ou SERM. Ce sont des agents qui, contrairement aux agonistes ou antagonistes des œstrogènes distincts, qui stimulent ou bloquent les œstrogènes, augmentent sélectivement l'activité œstrogénique dans certains tissus tout en inhibant l'activité œstrogénique dans d'autres tissus. De cette façon, EstroG-100™ peut fonctionner en imitant les avantages des médicaments SERM, tout en ne produisant aucun des risques graves pour la santé de ces produits pharmaceutiques. Une étude randomisée, en double aveugle et contrôlée par placebo a montré qu'EstroG-100™ réduisait considérablement les symptômes de la ménopause et le risque de dysfonctionnement sexuel féminin.26

Cette étude de la formule à trois extraits EstroG-100TM a impliqué 64 femmes présentant des symptômes ménopausiques modérés ou sévères. Le groupe test a reçu EstroG-100™ à des doses de 257 mg deux fois par jour, soit un total de 514 mg par jour. Tous les sujets ont été évalués à l'aide de l'indice de ménopause de Kupperman et de scores spéciaux pour la sécheresse vaginale.

Le score moyen de l'indice de ménopause de Kupperman, une mesure des symptômes de la ménopause, a été réduit de 62 % dans le groupe EstroG-100™, contre une diminution de seulement 19 % dans le groupe placebo. Le score moyen de sécheresse vaginale a diminué de 59 % dans le groupe de traitement contre seulement 27 % chez les sujets placebo. Le groupe EstroG-100™ a connu cette amélioration substantielle des symptômes sexuels et de la ménopause en seulement 12 semaines, et n'a connu aucun gain de poids ni aucun autre effet négatif.

Divers mécanismes d'action

Des études scientifiques indiquent que, lorsque tous les extraits botaniques décrits jusqu'à présent se combinent, ils modulent toutes les voies suivantes impliquées dans le dysfonctionnement sexuel féminin.

1. L'axe hypothalamo-hypophysaire (HPA) est crucial pour une bonne libido et une bonne fonction sexuelle. L'hypothalamus sécrète des substances qui régulent l'hypophyse. L'hypophyse, à son tour, sécrète l'hormone adrénocorticotrope (ACTH), qui régule le cortex surrénalien et module la production par les ovaires des hormones sexuelles clés, l'œstrogène et la progestérone. Les perturbations de ces hormones sont une cause fréquente de dysfonctionnement sexuel féminin.
2. Les glandes surrénales produisent des hormones importantes qui comprennent l'œstrogène, la testostérone, la progestérone, la prégnénolone, l'aldostérone, la DHEA et les androgènes surrénaliens. Lorsque la sécrétion d'androgènes surrénaliens ou d'autres hormones est diminuée, cela peut entraîner une déplétion des hormones sexuelles en aval, qui à son tour diminue la fonction sexuelle et exacerbe la transition ménopausique.
3. Les mitochondries utilisent l'adénosine triphosphate (ATP) pour stocker, transporter et utiliser l'énergie. Les réactions biochimiques impliquées dans les contractions musculaires dépendent de niveaux suffisants d'ATP. Des niveaux diminués d'ATP peuvent provoquer une forme de non-réactivité immunologique parfois associée à une diminution de l'intérêt pour le sexe.
4. L'activité antioxydante, si elle est déficiente, peut déclencher un dysfonctionnement sexuel féminin. L'oxyde nitrique (NO) est un messager chimique qui dilate les vaisseaux sanguins, permettant au sang de circuler plus rapidement vers diverses parties du corps, y compris la région génitale. L'oxyde nitrique est nécessaire à la capacité de détendre les muscles lisses, au bon fonctionnement vaginal et à la production de sécrétions vaginales. Si la fonction antioxydante est compromise, les radicaux libres peuvent détruire l'oxyde nitrique ou limiter son activité. De plus, le processus de vieillissement lui-même est associé à une production réduite d'acide nitrique.27 Les antidépresseurs connus sous le nom d'ISRS, ou inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, peuvent interférer avec l'oxyde nitrique synthase, réduisant ainsi la production d'oxyde nitrique et bloquant l'excitation sexuelle. Les ISRS peuvent également produire une anhédonie sexuelle, une absence de sensation de plaisir sexuel, voire d'orgasme.
5. L'inflammation est liée au dysfonctionnement sexuel féminin. Des niveaux élevés de cytokines pro-inflammatoires peuvent inhiber le désir, l'attirance et l'activité sexuels.28
6. Les neurotransmetteurs cérébraux jouent un rôle clé dans la dysfonction sexuelle féminine, notamment le composé monoamine oxydase (MAO). Si les taux de MAO ne sont pas optimaux, une dépression et une réduction de la libido peuvent en résulter.29 Lorsqu'on leur a posé des questions spécifiques sur les effets secondaires sexuels, ils ont été reconnus par jusqu'à 73 % des patients souffrant de dépression clinique.30 Cependant, les antidépresseurs connus sous le nom d'inhibiteurs de la MAO peuvent compromettre les niveaux de MAO nécessaires au bon fonctionnement sexuel. L'épuisement des niveaux de MAO est l'un des liens entre le tabagisme et la dysfonction sexuelle. À l'inverse, trop de MAO épuise la dopamine31, un neurotransmetteur vital qui nous permet d'éprouver du plaisir.
7. La ménopause implique une baisse spectaculaire des œstrogènes. Provoquant souvent une gêne en soi, il déclenche également un dysfonctionnement sexuel chez de nombreuses femmes,32 inhibant la libido, réduisant le flux sanguin vaginal et provoquant une atrophie vulvo-vaginale.33,34 Cette détérioration du tissu urogénital provoque souvent une sécheresse vaginale, une irritation, des démangeaisons, une dyspareunie (douleur rapports sexuels), des saignements vaginaux lors de rapports sexuels et des infections urinaires. Les niveaux de sérotonine diminuent avec les œstrogènes, augmentant le risque de dépression et de dysfonction sexuelle féminine.34

Résumé

La dysfonction sexuelle féminine est un problème de santé publique important qui touche 43 % des femmes,1,2 une statistique qui devrait exploser avec le vieillissement de la population.8

Pourtant, 40 % des femmes souffrant de dysfonction sexuelle féminine ne demandent pas l'aide d'un médecin.4

Des avancées scientifiques récentes ont identifié deux substances à base de plantes, le cordyceps et la maca, qui agissent ensemble pour moduler six voies distinctes pouvant conduire au dysfonctionnement sexuel féminin. Le Cordyceps, pris seul, a été trouvé dans des études en double aveugle contrôlées par placebo pour réduire la dysfonction sexuelle chez plus de 66 % des femmes, en seulement 40 jours !6

Un troisième extrait, EstroG-100TM, un mélange multi-extraits de composés de trois plantes, équilibre l'activité œstrogénique dans les tissus corporels, atténuant les symptômes de la ménopause, qui déclenchent souvent un dysfonctionnement sexuel féminin. Dans une étude en double aveugle contrôlée par placebo, EstroG-100™ a réduit les symptômes de la ménopause (et l'incidence de la dysfonction sexuelle) de 62 % en seulement 12 semaines.26

Alors que l'établissement médical n'offre aucun traitement efficace pour les multiples mécanismes à l'origine de ces conditions, les extraits botaniques naturels peuvent désormais inverser en toute sécurité le dysfonctionnement sexuel féminin, ainsi que les symptômes de la ménopause.